la nuit blanche

Je le sentait arriver. La nuit blanche, la silence avant l’orage, avant le massacre des mots. Le rien significatif dans les pièces fracturés qui fait « moi ». je voulais crier aime-moi, permette-moi de tenir ton main comme tu le ne lâcherais jamais, pas demain, pas quand le soleil est descendu à l’horizon pour longtemps, et le silence de la nuit te séduis. Je voulais dire je m’excuse, je m’excuse une mille fois parce que je suis une si mauvaise amie pur toi, une si insensible personne. Est-tu heureux ? aime-tu la vie ? ou joues-tu avec parfois avec l’idée du mort. Le noir éternel, le rien désiré. Le peut-être pas triste mais plutôt caressé et amoureux doux mort. Comme un vieux ami avec qui tu sembles d’avoir une dispute pour plusieurs siècles, et tu te réconcilies avec lui une bonne jour. Goûtes-tu le mort dans mes lèvres ? goûtes-tu le peur, impossible d’exprimer ? les secrets qui me brise contre la terre. Tu sais que ce sent quand ton âme brûle ?

Il se passe. Quand tu ne bouge pas. Quand tu reste sillent, il se passe.

Je le sentait arriver. Le nuit blanche, la silence avant l’orage.

crazy

i... can't... take... this... not... much... longer. it's pushing me off the edge. my overfull mind is about to explode. i'm going crazy. my castel made of sand is collapsing. poison in my veins. black oil filling my body with crazy taughts and hopes about sunshine in hell.  those words. those words you say to me go right trough my soul. yes, i'm faling deeper and deeper into my own burning destiny. chasing peace in my head. i don't know my place in this world no more. i can't breath no more like i should. smothering in my demons i created. i can't destroy this paper walls to search for my happy ever after. no glorious day, no sunshine mornings. bottled fear in a garden of eden. hold my hand while i'm running. try to catch me if i eventually fall bacause of the wolves that haunt me. waving the white flag, begging for mercy. hate is not a crime today. it's a simple part of surviving in the world i found once again.

try not to find
what ever you see
it's just left behind
by what once was me