zaterdag 31 mei 2008

la nuit blanche

Je le sentait arriver. La nuit blanche, la silence avant l’orage, avant le massacre des mots. Le rien significatif dans les pièces fracturés qui fait « moi ». je voulais crier aime-moi, permette-moi de tenir ton main comme tu le ne lâcherais jamais, pas demain, pas quand le soleil est descendu à l’horizon pour longtemps, et le silence de la nuit te séduis. Je voulais dire je m’excuse, je m’excuse une mille fois parce que je suis une si mauvaise amie pur toi, une si insensible personne. Est-tu heureux ? aime-tu la vie ? ou joues-tu avec parfois avec l’idée du mort. Le noir éternel, le rien désiré. Le peut-être pas triste mais plutôt caressé et amoureux doux mort. Comme un vieux ami avec qui tu sembles d’avoir une dispute pour plusieurs siècles, et tu te réconcilies avec lui une bonne jour. Goûtes-tu le mort dans mes lèvres ? goûtes-tu le peur, impossible d’exprimer ? les secrets qui me brise contre la terre. Tu sais que ce sent quand ton âme brûle ?

Il se passe. Quand tu ne bouge pas. Quand tu reste sillent, il se passe.

Je le sentait arriver. Le nuit blanche, la silence avant l’orage.

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